Histoire d'A
(Titre provisoire)
Par Fred Pody.
VIII
Mademoiselle "A"
La veille du dernier resserrage de ma taille, Sophie me rendit visite, seule.
- Bonjour Bijou, tu te sens un peu mieux ?
- Non, le corset me fait souffrir et je n'arrive pas à respirer normalement.
- C'est évident, personne ne respire de la même façon avec un corset. Il est évident qu'un corset très serré à quelques inconvénients, qu'il t'empêche certaine action, ou certain mouvement, qu'il est pénible à supporter. Mais il y a une différence entre un corset pénible, même très éprouvant et un corset qui mettrait ta santé en péril.
Je la regardais en réfléchissant à son petit discourt. C'était fou ! Les problèmes induits par les corsets trop serrés, lui paraissaient normaux. Comme s'il était normal de ne pas pouvoir respirer librement, de ne pas pouvoir bouger, d'étouffer en avalant un minuscule repas. Tous cela lui paraissait normal, sans importance.
- C'est vraiment horrible, mais j'imagine que toi et Delphine, savez ce que vous faite. Seul, je ne me serrais jamais serré aussi fort. Je n'imaginais pas que l'on puisse se serrer ainsi sans danger. Mais comme c'est dur de rester serré à ce point, je n'en peux plus…
Pourquoi je n'avais pas protesté plus ? J'avais simplement très envie de l'embrasser, je m'approchais de Sophie, qui m'embrassa au travers des barreaux.
- J'aime que tu sois aussi grand que moi. Tu comprends l'importance de porter de très hauts talons. Ce serait merveilleux si tu étais encore plus grand.
Je portais les chaussures que m'avait imposées la Surveillante Générale. Mes bottines avaient des talons de 12cm et étaient très fins, et me cambraient douloureusement les pieds.
- Il y a un autre entraînement que tu dois suivre. Demain, nous serons le jeudi six août, et ont doit te serrer pour la dernière fois avant ton épreuve. Demain, tu devras avoir un tour de taille de 53cm. Mais pour passer ton épreuve, tu devras t'asseoir sur la selle, que ma tante a fait garnir d'un… d'une épreuve supplémentaire. Tu as passé une journée avec le No 3 dans ton fondement, mais celui de la selle est encore plus gros.
J'étais interdis, effrayé de ce qu'elle essayait de m'annoncer
- Montre moi la boite de… La boite, avec un taureau gravé sur le couvercle.
Je pris la boite, à contre cœur, et l'ouvris pour lui présenter.
Sophie sorti le No 1 et le replaça aussitôt. Elle sortit chaque godemiché, en les soupesant, en les manipulant devant moi. Je restais muet. Elle rangea les godemichés dans la boite, sauf le No 4. Une horreur, il était énorme. Elle me le tendit. Non, elle n'espère pas… Elle est folle, elle veut m'estropier. Cet engin était effrayant, il ne pouvait pas servir, sur un être humain, il ne pouvait pas entrer… c'était impossible.
- Pose le verticalement sur la chaise roulante.
- Sophie ! Tu es folle, c'est impossible. L'autre m'a déjà tellement fait souffrir…
- STOP ! SILENCE ! Fais ce que je t'ai dis ! Et sans jérémiades ridicule !
Quoi dire ? Son exigence était terrible, et je ne voulais pas la contrarier, mais comment refuser, comment faire ?
Je pris le godemiché, lourd, épais. Je le posais sur le siège de la chaise roulante, verticalement. Il était monstrueux.
- Regarde le bien mon Bijou. C'est cette chose qui entrera en toi.
Je le regardais… et je trouvais cela impossible.
- Sophie, je ne pourrais pas… je ne veux pas.
Tourne toi et assied toi dessus !
Bon sang, comment faire, comment refuser.
Je me retournais, et me baissais lentement, jusqu'à entrer en contact avec la pointe de cette énorme chose de bronze contre l'entrée de mon anus. Je devais me retenir aux accoudoirs. Je me baissais un peu, lentement, de quelque cm. La pointe du godemiché entrait en moi, me dilatant fortement. Chaque mouvement vers le bas me dilatait plus fortement, plus durement. Je ne m'étais presque pas baissé, que la douleur monta. Cette chose essayait de me pénétrer, presque contre ma volonté. Non, je ne peux pas m'empaler sur cet énorme engin.
- Sophie, c'est trop gros, je ne peux pas.
- Je ne veux plus entendre de jérémiades ! J'exige que tu continues à t'empaler !
Je forçais, je me laissais m'enfoncer encore plus, mais le go… la chose de bronze m'écartelait les fesses durement, la brûlure autour de mon anus martyrisé, devenait insupportable.
- Hoo ! Ca me brûle, j'ai mal, je t'en prie…
- Encore un effort, tu y es presque.
J'avais le sentiment que cette chose en moi, allait me fendre en deux. Cet énorme godemiché m'envahissait douloureusement. Je descendais encore, millimètre par millimètre, péniblement. Je commençais à avoir des sueurs froides, mes faibles forces me quittaient. Au moment ou j'allais lâcher les accoudoirs, me laisser aller sur le terrible pal, je sentis que l'anneau de mon anus, avait passé la partie la plus large du godemiché, je glissais plus bas, il m'envahit encore plus. Et enfin mes fesses touchaient le siège, au moment ou je lâchais complètement prise, ne me retenant plus, me laissant pénétrer par ce bloc de bronze jusque la garde. J'étais empalé. J'étais atrocement dilaté. J'étais rempli par le godemiché de bronze. J'étais enculé… J'avais honte de m'avoir enc…empalé.
- Bijou ! Tu te sens bien ?
- J'ai mal, je me sens sans force, je ne peux plus bouger.
Je me sentais d'une faiblesse extrême. Le corset atrocement serré et maintenant, cet énorme bloc de bronze en moi, qui me remplissait, me dilatait. Je me sentais mal, des sueurs froides, proche de l'évanouissement. Un malaise me submergeait. C'était trop. Je respirais plus difficilement, plus saccadés et je n'avais plus la force de bouger. Je restais immobile, ne sachant si mon malaise était dû au corset où a l'énorme bloc de bronze qui me pénétrait et me remplissait. Au bout d'un long temps, sans bouger, je fini par tourner ma tête vers Sophie. Après encore un peu de temps, je fini par avoir le courage de lui dire.
- J'ai mal, ça me brûle, c'est beaucoup trop gros. Ca me rempli complètement et avec mon corset, c'est encore plus pénible. Je n'ai plus de force. Je ne saurais même plus me lever sans aide.
- Il n'est pas question de te lever ! Je vais même t'aider à rester bien assis.
- Que veux tu me faire ?
- Ferme la ceinture métallique et ferme le cadenas.
Je n'avais plus la force de la contredire, et d'un geste infiniment las, lentement, je fermais la ceinture, et son cadenas.
- Bien mon Bijou. Le collier autour du cou, maintenant.
Avec beaucoup de lassitude, je fermais le collier et son cadenas, qui m'obligeait à redresser la tête. Mon état de faiblesse était tel, que j'aurais exécuté n'importe quel ordre, pourvus qu'il ne me demande pas d'effort.
Sophie me regarda, d'une façon bizarre, ne disant rien. Elle semblait fascinée par moi, ou par ma situation. Jeune homme amoureux, corseté, empalé, et enchaîné…
Ont se regarda ainsi sans un mot, longtemps. Moment calme et presque magique. J'étais d'une faiblesse extrême, et je devais être très pâle. Elle partit, elle disparus, j'étais seul. Une longue journée devant moi. Une journée pénible, douloureuse, surtout humiliante. J'étais empalé.
- - -
Fixé sur ma chaise roulante, je pouvais me déplacer dans ma cage, mais je me rendis vite compte que mes actions seraient très limitées. Impossible de me pencher pour fouiller dans le coffre. Impossible de m'asseoir différemment, pour soulager mes crampes. Impossible d'enlever le godemiché qui me torturait mes fesses et mes entrailles. Je pouvais juste m'approcher de la table et tendre le bras pour attraper un verre et boire un peu. Très peu, pour cause d'estomac compressé par mon corset.
Tard, le soir, la Surveillante Générale arriva pour m'apporter mon soupé. Elle déposa sur la table, les clefs des deux cadenas. Je pus me libérer et me lever avec beaucoup de difficulté, comme un vieillard. J'étais ankylosé, tous mes muscles douloureux d'avoir été si longtemps immobilisés. Mon godemiché était resté planté en moi. Je me levais et marchais difficilement vers mon lit. Mes hauts talons, la rigidité de mon corset, me faisait avancer d'un pas incertain et me forçait à des mouvements du bassin qui agitait l'énorme bloc de bronze enfoncé profondément en moi.
Je m'étendis sur le coté, et j'entrepris de le faire sortir de mes fesses. Il fallait faire passer la partie la plus large au travers de mon anus, qui avait été martyrisé toute la journée. Ce fut douloureux, une brûlure que je réveillais au passage le plus large de cet engin d'humiliation. Enfin, je pus le faire sortir, mais très lentement. En se refermant, j'avivais encore plus mes douleurs. Je me vidais, j'enlevais un poids, une présence immonde, et pourtant devenue intime. Je me vidais, je perdais quelque chose qui m'avait fait souffrir, m'avait humilié, mais avait fini par devenir une partie de moi-même.
Il me semblait avoir perdu quelque chose de moi, quelque chose en moi… Quelque chose que je pourrais regretter…
Je le tenais en main. C'était lourd, épais, vraiment très large. Comment cela avait-il put entrer en moi ?
Je me caressais les fesses, mon douloureux anus. Ce que je sentis m'horrifia. J'étais ouvert ! Il ne s'était pas complètement refermé. Je m'imaginais avec horreur devenir incontinent. Devoir porter un bouchon pour rester propre. Ont m'avait estropier !
Durant plus d'une heure, je fus pris de panique. Ce n'est qu'un peu plus tard, que je me rendis compte, que je me refermais petit à petit. Mon imagination m'avait fait une peur bleue. N'empêche, que cet engin, que j'avais dû porter en moi toute une journée, était effrayant, vraiment très gros. Difficile d'imaginer qu'un bloc de bronze aussi gros ai put entrer en moi, dans mes fesses, dans mon fondement.
La nuit fut longue, agitée. J'étais sur les nerfs, je rêvais du passage de la porte étroite, de corset et de godemiché, mêlé des baisers de Sophie.
Le lendemain matin, Sophie, Delphine et la Surveillante Générale, entrèrent, et immédiatement, la Surveillante Générale me dit.
- Vous savez ce que vous devez faire ! Enlever cette horrible chemise et dos aux barreaux !
Je me mis dos aux barreaux.
Delphine dirigeait la manœuvre, elles prirent la disposition habituelle, et sur l'ordre de Delphine elles tiraient sur les lacets de mon corset. Je fus plaqué contre les barreaux. A trois, tirant de toute leur force, mon corset se réduisit rapidement.
- ENCORE PLUS ! Cria Delphine.
J'étais écrasé par la pression, mon estomac affreusement comprimé, remontait et m'étouffait
- PLUS FORT !
Ho non pas encore plus. Elles vont me faire mourir, à force de me comprimer encore plus.
- Ce n'est pas assez, il faut tirer encore plus fort.
Mais comment "pas assez" Je ne me sens pas bien. Il me semble que je vais faiblir, m'évanouir. Mes dernières forces me quittent.
- A trois ont tirent, il faut y mettre toutes nos forces.
Je voulus tourner la tête, pour leurs supplier d'arrêter
- UN ! DEUX ! TROIS !!! TIRER ! TIRER ! ENCORE ! ENCORE ! ENCORE !
Pas… La… Force de… dire… de supplier… Mon corset… Ma taille… elle cède… Ho non… Je vais … m'écrouler… Je les entendais, les sentais s'activer derrière moi. Ma taille brisée. Plus de souffle. Mon corps douloureux d'être aussi comprimé. Quelqu'un me soutenait, sans cela, je me serais étalé par terre. Ho mon pauvre ventre, ma poitrine, de l'air. S'il pouvait me desserrer un peu, rien qu'un peu.
Des mains fines, me prirent la tête et délicatement, me la faisait tourner. Sophie, m'embrassa, un long baiser, tendre, profondément intime. Un baiser qui me soulageait un peu de l'épreuve imposée par mon corset. Ce terrible corset tellement serré.
- Tu as réussi, mon Bijou. Tu ne fais plus que 53cm de taille. C'est extraordinaire mon joli Bijou.
Delphine me dit.
- Je suis une spécialiste des corsets, et tu es le seul jeune homme à avoir une taille aussi fine. Tu pourras passer ton épreuve demain. Je serais très heureuse de travailler avec toi, pour la mise au point de corset pour jeunes hommes précieux. Avec ton aide, je mettrais au point des méthodes d'entraînement spéciales, pour Gentlemans très précieux.
- Demain, sera un grand jour, comme une naissance, Repose toi, tu devra être au mieux.
C'était étrange d'être félicité pour un exploit qui m'avait été imposé. Etrange, et pourtant, ces compliments me flattaient. Je réussis même à leur sourire, alors que je souffrais le martyr dans mon corset tellement étroit. Les compliments de Delphine et surtout de Sophie, me faisaient me pavaner comme un paon, malgré mes trop hauts talons et mon corset bien trop serré, horriblement serré.
Elles s'en allèrent, Sophie me faisant un signe amical, au moment de franchir la porte. Je me retrouvais seul, encore plus durement corseté, épuisé, à bout de force et de souffle. Demain je passerais l'épreuve.
Il n'est pas possible de dormir, avec une telle pression sur le ventre. Je ne pus fermer l'œil. Une longue nuit d'attente, le ventre corseté et douloureux. Une nuit à attendre une libération, peut-être… une vie nouvelle…
Le lendemain matin, vendredi 7 août 1891, quarante neuvième jours de ma détention. Le jour de mon épreuve. Je passerais enfin la porte étroite et je pourrais ainsi, rester toujours avec ma tendre amie Sophie.
J'étais déjà levé, tan l'excitation montait, quand Sophie entra.
Elle m'embrassa avec fougue.
- Bientôt. Me dit-elle. Ont pourra s'embrasser sans être séparés par ces barreaux.
- Tu as fait ta toilette. Me demanda t-elle.
- Oui, avec beaucoup de minutie. Je ne veux plus être le vagabond sal et hirsute, d'il y a plus d'un mois.
- Je veux être certaine que tu passeras l'épreuve. Je n'ai pas d'inquiétude pour ton corset ni tes hauts talons, mais je suis moins certaine pour l'épreuve de la selle.
Ho non. Si sa Tante n'avait pas ajouté cet énorme pal sur la selle, l'épreuve aurait été bien plus simple. Je n'oserais jamais m'empaler sur ce truc monstrueux, devant sa Tante Florence.
Sophie avait sorti le godemiché No 4, l'énorme godemiché qui m'avait tellement fait souffrir. Son diamètre même était humiliant. Savoir que je pouvais m'introduire une chose aussi énorme dans mes fesses me faisait honte.
Elle exigea que je m'empale dessus. Je dus le poser verticalement sur ma chaise, et me l'enfoncer complètement dans mon fondement, me dilatant durement l'anus. C'était douloureux, mais à ma plus grande honte, je m'étais empalé beaucoup plus vite que la dernière fois. C'était le plus horrible à mes yeux, être habitué à m'enfoncer un tel engin dans mes fesses. De devenir un "Sodomite". Non je ne veux pas, pourtant, cet énorme godemiché, était bien en moi… Ensuite, elle m'obligeât à me lever et à marcher avec ce gros machin dans les fesses. Je n'avais pas le droit de le tenir. Il me fallait serrer les fesses au maximum, pour qu'il ne glisse pas en dehors. Chaque pas délicat, sur mes hauts talons, se répercutait dans le godemiché, qui bougeait en moi de manière insistante, et humiliante. Son poids ne m'aidait pas. Je ne fus autorisé à l'enlever qu'après m'avoir fait balader de long en large dans ma cage avec cette chose de bronze en moi. J'étais épuisé, les fesses en feux et dans un état d'excitation mêlé de honte. Enfin Sophie m'autorisa à me libérer de cet horrible bloc de métal, qui m'avait si durement dilaté.
Je dus refaire ma toilette, pour être présentable. Et juste quelques instants avant l'heure de mon épreuve, Sophie ouvrit le cadenas de ma chaîne, qui m'empêchait depuis plus d'un mois, de desserrer mon corset.
L'attente fut courte, quelques minutes après avoir été libéré de la chaîne autour de ma taille, la Surveillante Générale entra, en poussant un chariot. Elle avait apporté beaucoup de choses sur le chariot. Il y avait des boites, des vêtements empilés, mais également, d'autre choses en métal.
Des sièges avaient été disposés. Cinq sièges face à la sortie de la porte étroite.
Florence entra, suivie de Sophie, de Delphine et de Caroline. Elles s'installèrent, face à la porte étroite. J'étais debout, en corset et talons hauts. Je ne portais plus ma chemise dégoûtante. J'étais debout, presque nu, mon corset ne couvrait même pas mon sexe que je cachais comme je pouvais. Ma nudité, était plus troublante encore face à ces cinq femmes élégantes.
La Surveillante Générale s'approcha de Florence, et lui dit.
- Nous sommes prêt. Madame. Nous attendons votre ordre pour commencer.
- Bien. Dit Florence, et plus fort elle dit.
- Monsieur André, vous êtes face à votre dernier choix. Un choix définitif. Vous pouvez partir maintenant. Vos habits vous attendent à la porte du domaine. Où vous restez, mais alors, sous les règles et l'autorité de l'école des Sylphides. Faite votre choix ! La porte étroite ou la porte de fer !
Je voulais rejoindre Sophie, de l'autre coté de la porte étroite, et je répondis timidement.
- Oui Madame.
Je savais ce que je devais faire, et que je devais le faire seul. Sophie m'avait expliquée, que personne ne m'aiderait à passer la porte. Que je signifiais ainsi, ma volonté de passer librement cette épreuve.
Je m'approchais de la selle. La partie la plus humiliante, la plus douloureuse. Je savais que mes pieds ne toucheraient pas le sol, sans des talons de 11 cm. Les miens en faisaient 12 ! Mon problème ne sera pas dans la hauteur de mes talons. Je montais sur la petite estrade, de sorte que la selle garnie, soit plus basse, que je puisse m'y asseoir. La taille du pal me faisait vraiment hésiter. Il était plus étranglé à la base, que ceux que m'avait obligé Sophie à … à… utiliser. Mais le renflement, était plus large, trop large. Comment le faire entrer… Je me retournais, et je vis Sophie, ma merveilleuse Sophie. Elle m'attendait. Je vais devoir le faire, pour la rejoindre.
Je lubrifiais la… chose en bronze, au centre de la selle. J'utilisais la fiole de la boite de godemiché. Je me retournais. J'étais en hauteur, bien en vues des cinq femmes. Je me baissais avec beaucoup de précaution. La pointe du pal s'insinua dans l'entrée de mon anus. Je me baissais à peine, que l'énorme pal me dilatait déjà très fort. Il n'y avait rien pour me retenir. Je m'empalais avec mille précautions en fléchissant les jambes. Très vite, le diamètre énorme de cette chose qui s'insinuait en moi me fit souffrir. J'utilisais mon poids pour me faire descendre un peu plus, me dilater atrocement. Le lubrifiant m'aidait à faire glisser cette énorme chose en moi, mais cette facilité était un piège redoutable. J'avais peur que cela me déchire, tellement la pression qui me dilatait, était forte, devenait douloureuse et de plus en plus terrible.
Je relevais ma tête et je pus les voir toutes les cinq, qui me regardaient m'empaler. La honte me fit rougir. Mais qu'est ce que je fais ? Je m'enfonce un énorme godemiché devant ces femmes ! Sophie me regardait intensément, sans un mot, sans un signe. Je fermais les yeux, pour ne plus les voir, pour cacher ma honte, pour m'empaler… Il y eu un moment, ou je sentais que cela dépassais mes limites, que j'allais me fendre en deux. Je m'arrêtais, paniqué par la taille de ce qui me pénétrait. Je ne pouvais plus bouger, ne plus m'enfoncer et ne pas reculer. Me figer sur la douleur de mon anus en feux. Attendre sur cette pointe qui m'écartèle les fesses, m'élargit et me dilate. Attendre un peu, encore un peu… Mes genoux fléchissaient, d'une façon presque imperceptible. Le godemiché avait encore gagné un millimètre. Puis un autre. La douleur changea, devenant comme engourdie. Je transpirais, mais maintenant c'était de sueur froide, une faiblesse, mes jambes ne me tenaient plus, je glissais, mon anus encore plus élargit, plus douloureux. Je senti le passage de la partie la plus large, je senti le renflement du godemiché en moi et… HO ! Je… tombais lentement. J'étais assis, empalé, cloué sur la selle. L'énorme godemiché dans mon ventre. Je restais là… hébété… immobile… n'osant plus respirer… plus bouger… les yeux fermés, je transpirais et pourtant, j'avais froid. Une sensation de malaise, de faiblesse. Une froide langueur, qui m'empêchait de bouger, de réagir. Qui m'obligeait de rester assis, empalé, littéralement cloué sur ma selle le ventre rempli de ce bronze ignoble. Je restais ainsi, hébété, la bouche ouverte, cherchant de l'air, la taille douloureuse d'être autant serrée, les fesses douloureuses d'être autant dilatées. La honte d'avoir montré, la taille énorme du godemiché, que je pouvais m'enfoncer dans mes fesses.
Enfin, je pus me ressaisir, avec difficulté. Je m'avançais, en descendant les trois marches du petit podium, tous en restant assis sur la selle. De toutes façons, je ne pouvais plus me lever de cette selle. Je me retrouvais donc devant les trois marches, debout, perché sur mes hauts talons, assis sur la selle, empalé, parfaitement fixé à cette selle par le godemiché, comme soudé à elle. Je m'avançais en entraînant le chariot et la selle, vers la porte étroite. Le godemiché qui me dilatait, profondément fiché en moi, entraînait la selle et le chariot, par mon déplacement. Mais il avançait sans suivre mes mouvements verticaux, dû à ma marche. Il me massait ainsi mon anus à chaque pas, comme s'il était vivant, animé d'un mouvement insistant, pénétrant et honteux.
La porte intérieure étant ouverte, les deux plateaux se présentaient à hauteur exacte de ma taille corsetée. Je pus m'avancer dans le sas de la porte étroite, ma taille entrant exactement dans les encoches des deux plateaux.
L'ajustement était serré, un demis cm de plus, et je n'aurais pus m'insérer entre les plateaux. J'avançais le plus possible, contre la porte extérieure. Un déclic se fit et le chariot se bloqua dans le sas, ma taille exactement entre les deux plateaux. Il m'avait fallut un mois et demis d'entraînement, pour atteindre les 53cm et entrer ainsi dans les encoches calibrées pour cette taille.
La place dans le sas était extrêmement limitée. La Surveillante Générale me fit passer mes avant bras au travers des barreaux et elle ferma la porte interne. J'étais alors enfermé dans le sas, la taille prise dans l'encoche des plateaux calibrés à 53 minuscules centimètres, plus ou moins assis sur la selle et complètement envahi par l'énorme godemiché. Le corps tendu, perché sur de très haut talon, les fesses clouées sur la selle, la taille coincée dans l'encoche des deux plateaux, enfermé dans le sas étroit, je ne pouvais plus bouger.
Florence se leva, ainsi que Sophie, Delphine, et Caroline. Elle dit.
- Bravos Monsieur André, vous avez réussi votre épreuve. Cela vous donne le droit de signer un contrat entre vous et l'école des Sylphides. Bien sur vous pouvez encore vous rétracter. Mais après la signature du contrat que l'on va vous apporter, il n'y aura plus de retour en arrière. Avez-vous bien compris, Monsieur André ?
Je répondis à voie basse, impressionné par cette femme extraordinaire, à la silhouette hors du commun et à la forte autorité.
- Oui Madame. Dis-je.
- Madame la Surveillante Générale ! Dit Florence. Veuillez nous apporter le contrat.
La Surveillante Générale apporta une écritoire avec le contrat posé dessus et une plume.
- Monsieur André ! Veuillez lire attentivement ce contrat.
La Surveillante Générale me présenta le document. Il y avait beaucoup de page, un long texte manuscrit, ou il était question de règlement, d'autorité, de conduite, et autre chose du même genre. Il y avait beaucoup de référence au règlement intérieur de l'école. Ainsi qu'a l'autorité de la Directrice. Je n'avais pas eu le temps de lire la première page que Mademoiselle Florence dit autoritairement.
- Monsieur André, vous avez lu ce contrat. Il stipule que vous devez respecter le règlement de l'école des Sylphides à la lettre, tous le règlement sans exception. Vous avez eu le temps durant plus d'un mois d'étudier ce règlement. Je vous en rappelle quelques points essentiels.
= Vous Vous soumettez entièrement à l'autorité de l'école.
= Vous respecterez tous les articles du règlement de l'école.
= Vous ne pourrez sortir de cette école que sur ma seul décision.
= Vous devrez garder le secret de vos origines.
= Vos activité, vos loisirs, vos relations, devrons être approuvée par moi.
= Tous ce qui ne vous est pas expressément autorisé, vous est absolument interdit.
= Vous ne pouvez rien demander, aucun services, ou attention à qui que ce soi sans mon autorisation.
Pour la dernière fois, Monsieur André, acceptez vous toutes les conditions et contraintes de ce contrat ?
- Oui Madame. Dis-je timidement pour la troisième fois.
- Parfait ! Signez en bas de chaque page.
Je signais toutes les pages du contrat. Quoi faire d'autre, enfermé dans le sas de la porte étroite.
La Surveillante Générale me dit.
- Je vous donnerais votre règlement personnel, à votre nom. Relisez le. Cela vous sera profitable.
Et se retournant vers Florence, elle annonça.
- Madame la Directrice, le contrat est signé.
- Bien dit Florence. Notre sujet n'ayant pas encore de nom définitif, nous utiliserons, ces initiales. Madame la Surveillante Générale ! Vous pouvez ouvrir la porte étroite, et faire entrer Mademoiselle "A"
La porte s'ouvrit enfin, je pouvais entrer dans l'école, rejoindre vraiment ma Sophie chérie.
Mademoiselle "A" me dit-elle. Vous porterez ce nom, en attendant votre baptême officiel dans cette école, et votre nom définitif. Avez-vous bien compris ?
- Heu je ne suis pas une fille, je…
- Mademoiselle "A" ! Je vous prie de vous taire ! Avancez avec votre chariot. Il vous faut rapidement apprendre à obéir mademoiselle "A".
Mademoiselle "A", quel était encore cette folie, ce n'était pas suffisant de m'humilier en m'obligeant à m'empaler sur un énorme godemiché, de me faire porter des hauts talons et un corset, comme une fille. Et maintenant, ce nom de demoiselle. La porte était ouverte… J'avançais sans protester. Sortir enfin de cette cage
Mademoiselle Florence dirigeait les opérations.
J'étais maintenant debout, toujours empalé sur le chariot, au milieu de la salle.
- Enchaînez cette demoiselle !
La Surveillante Générale, me releva une jambe. Ce qui eu pour effet de m'obliger à porter mon poids sur la selle et à m'empaler encore un peu plus. Elle me fixa une chaîne à ma cheville, très tendue, ce qui m'obligeait à garder ma jambe écartée et soulevée, me tirant sur le côté très fortement. L'autre jambe subit le même sort. J'avais ainsi les jambes fortement écartelées, m'ouvrant encore plus et m'enfonçant encore plus profondément sur le godemiché. Il me semblais que l'on voulait m'empaler encore plus, me remplir plus profondément, au delà de toute raison.
Ensuite, la Surveillante Générale, dû monter sur un escabeau, pour enchaîner mes poignets en les tirant vers le plafond.
J'étais écartelé par les chaînes entre le plafond et le sol, reposant sur ma selle garnie, clouée par le godemiché. Totalement immobilisé.
- Enlevez son corset !
Et la Surveillante Générale, me délaça mon corset qu'elles avaient eu tan de mal à serrer.
- Première leçon. Il vous est dorénavant interdit de rester debout, sans le support d'un corset, sauf à être enchaînée, suspendue avec les pieds dans le vide. Madame la Surveillante Générale ! La chemise de dessous et lacez lui, son nouveau corset.
Mon corps était écartelé, étiré au maximum. Impossible de bouger. Mes poignets et mes bras me faisaient mal à force d'étirement. Presque autant que l'énorme godemiché qui me torturait les entrailles.
La chemise était très simple au milieu, sur le buste, bien tendue, mais au dessus et en dessous une multitude de petits volants de dentelle formant un volume important sur la poitrine et sur les hanches. Le nouveau corset était différent de celui qui avait servi à mon entraînement, à me réduire progressivement ma taille à 53cm. Il était plus long, plus enveloppant au niveau des hanches, mais surtout, il avait une poitrine… de femme. Une poitrine sans doute normale pour une fille, mais une poitrine qui me sera sûrement difficile de cacher. Il me paraissait plus rigide et je devinais un rembourrage épais au niveau de mes hanches.
La Surveillante Générale avait agrafé le corset et avait commencé à le serrer. Je sentis immédiatement la différence. Sa longueur vers le haut m'étouffait déjà, alors qu'il était a peine serré. Delphine et Sophie vinrent aider la Surveillante Générale, à me lacer. La pression augmenta vite et terriblement. Attaché, étiré comme je l'étais, je ne pouvais luter contre la compression du corset qui me broyait le corps, la taille et la poitrine. Elles ne purent pas me serrer complètement sur les hanches, à cause de la position de mes jambes, mais ma taille ne fut pas épargnée. Elles durent faire des poses, me relacer, refaire une pose et me serrer encore plus. J'avais beau me plaindre, rien ne les arrêtait. Au dernier serrage, je n'avais même plus la force de me plaindre, juste un gémissement étouffé, mais rien n'y fit, elles tiraient tan sur les lacets, que je retrouvais rapidement et douloureusement ma taille de 53cm.
Ont me laissa là, suspendu, affreusement corseté, empalé, enchaîné. J'étais seul. La séance de laçage de mon corset les avait épuisées, et elles étaient parties se reposer, me laissant là, la taille étranglée, et les fesses en feux. Mon nouveau corset m'étouffait avec sa plus grande hauteur et l'épaisseur que je portais au niveau le la poitrine. Je ne voulais pas de ça, une poitrine de fille, qui s'avançait devant, limitant ma vue vers le bas. Je ne pouvais pas me voir, ainsi attaché. Cette poitrine qui pesait bizarrement sur le devant, me faisait rougir. Je me demande à quoi je pouvais bien ressembler.
Au bout d'un temps infini, elles revinrent, reposée et moi, étouffé, douloureusement empalé. Dans une position humiliante, et pénible.
La Surveillante Générale disposa un grand miroir en face de moi, et me dit tous bas.
- Il n'y a aucune raison, que vous ne puissiez pas voir la naissance d'une demoiselle.
Je pus me voir, écartelé par les chaînes, empalé, ma taille douloureusement étroite, et cette poitrine de fille… même mes hanches semblaient féminines. Je voyais en fait, une fille, avec un sexe… inadapté…
- Enlevez lui la selle et le godemiché. Dit Florence.
La Surveillante Générale, enleva le cadenas, qui bloquait la selle, et la fit descendre, entraînant le godemiché avec elle.
Le godemiché ne voulait pas sortir. Il ne passait pas l'anneau de mon anus, trop serré. Le renflement en moi, était trop gros. La surveillante Générale, insista, elle tirait le godemiché vers le bas, obligeant mon anus à se dilater de nouveaux, douloureusement, une brûlure terrible au moment du passage de la partie du godemiché la plus large, et brutalement, un vide, mon anus béant, il me semblait que le l'air frais entrait par l'ouverture, sûrement que mon imagination me jouait des tours. C'est impossible, mais je me sentais comme évidé, ouvert, impudiquement ouvert.
En fait, j'étais soulagé, plus serein maintenant que j'avais été libéré de cette horreur.
- Bien ! Mademoiselle "A", écoutez bien cette partie du règlement. Certaine de nos pensionnaires, sont astreintes de porter une ceinture de chasteté. Cette décision est généralement prise par la famille. Mais comme vous n'avez pas de famille, j'ai décidé que vous porterez vous aussi une ceinture de chasteté. Par conséquence, vous devrez la porter en permanence. Les seuls instants, ou pour diverses raisons, vous seriez amené à l'enlever, vous devrez obligatoirement être enchaînée, avec des chaînes scellées dans un mur. De plus, vous ne pourrez par rester plus d'une heure sans votre ceinture de chasteté. C'est la raison pour la quel vous resterez enchaînée, tan que votre ceinture ne sera pas fermée à clef.
Il y eu quelques difficultés pour installer cette ceinture. Caroline, l'appelait la ceinture "Future Demoiselle".
On devait m'enfiler cette ceinture par l'avant. Il fallait introduire ma verge dans un canal, aménagé à l'intérieure le la partie avant. C'était très étroit et recourbé vers l'arrière, ce qui augmentait la difficulté. Quand mon sexe fût bien en place, elle replia la plaque avant entre mes jambes, me forçant ainsi à avoir ma verge repliée entre les jambes. Cette plaque qui était plate sur le devant et enfermais désagréablement mon sexe, fut attachés à l'arrière d'une ceinture métallique, le tous cadenassé derrière, au nivaux de ma taille corsetée. Une fois ce dispositif en place, je n'avais plus de sexe, mais un ventre plat. L'effet était, étrange, comme si ont m'avait émasculé.
- Un petit conseille Mademoiselle "A". Dit florence. Avec cette ceinture de chasteté "Future Demoiselle", vous avez intérêt à faire vos petits besoins, en vous accroupissant. Je ne vous conseille pas de les faire debout. Ce qui de toute façon, est interdit dans cette école. Bien ! Madame la Surveillante Générale ! Vous pouvez lui détacher les chevilles et poursuivre son équipement.
Quel soulagement de pouvoir poser mes pieds par terre, et soulager ainsi la tension des chaînes sur mes poignets et mes bras.
Delphine et Sophie, vinrent alors terminer le laçage de mon corset au niveau de mes hanches. Ce corset, m'enlevait encore plus de liberté de mouvement. Je ne sais pas comment je vais pouvoir m'asseoir avec un corset aussi long et rigide.
Caroline intervint après que j'eus les chevilles libérées et que je fus complètement et correctement corseté. Elle m'enfila un pantalon fendu en dentelle, d'une douceur extrême, qui me faisait rougir. Ensuite, elle m'enleva mes chaussures, et je me retrouvais de nouveau, suspendu par mes poignets. Caroline m'enfila des bas de soie, qui me caressaient les jambes d'une manière délicieuse, au point de me faire oublier toutes mes douleurs. Elle les fixa avec les jarretelles du corset, qui en tendant les bas sur mes jambes, leurs donnaient une présence. Elle ajusta mes jarretelles de sorte que mes bas soient tendus au maximum, en exerçant une douce pression tout au long de mes jambes, comme une douce caresse, troublante.
Caroline m'enfila de nouvelles bottines à très hauts talons, des talons de 12 cm, ce qui me permit de pouvoir me tenir de nouveau debout sur mes pieds, enfin, sur la pointe de mes pieds.
Caroline m'enfila un pantalon extraordinaire, ayant une multitude de volant. Il fut enfilé par-dessus mon premier pantalon et par-dessus les jarretelles qui fixaient mes bas. Ainsi, ce pantalon prenait un volume incroyable, me faisant des hanches opulentes, sous ma petite taille corsetée. Ce pantalon était suffisamment long pour cacher complètement mes jarretelles et leurs attaches. La caresse de mes bas tendus, toutes ces dentelles autour de mes jambes, tous cela me troublait étrangement, délicieusement. J'en venais presque à désirer rester ainsi, me noyer dans tous ces merveilleux dessous.
Caroline pris sur le chariot une boite en bois précieux, et en sorti une paire d'anneaux très larges couleur or, et réunis ensemble par une série de tringles métalliques très courtes.
- Mademoiselle "A", quand vous aurez un nom définitif, on le fera graver sur une plaque qui sera fixée sur vos entraves de genoux. Ces entraves, sont personnelles, vous devrez les porter en permanence. Elles ne sont pas une brimade, mais plutôt une aide, vous permettant d'apprendre à marcher délicatement, à petit pas. Il est strictement interdit aux élèves de cette école de marcher à grandes enjambées, et encore moins de courir.
Je n'avais pas vraiment envie de courir avec des talons de 12cm et un corset aussi long, rigide et tellement serré.
- Ces entraves de genoux sont réglables sur trois positions. La plus libre vous permets juste, de vous déplacer et de monter des escaliers normaux. La deuxième, vous permettra seulement, de monter des escaliers spéciaux, ayant de petites marches de dix cm maximum. La troisième position, vous bloque les genoux l'un contre l'autre.
Caroline, me fixa ces entraves aux genoux. Elles m'obligeaient à garder les genoux collés l'un contre l'autre. Ensuite, Caroline, m'entrava les chevilles. "Strictement interdit de courir", c'est vraiment une plaisanterie.
- Ces entraves de chevilles sont destinées à limiter la longueur de vos pas. Il vous faudra vous entraîner à marcher avec ces entraves et vos hauts talons, de manière élégante et légère.
J'étais de plus en plus immobilisé et fasciné par le luxe de tous cela, les entraves de genoux étaient en fait construites comme des bijoux de grand luxe. Il n'y manquait que des pierres précieuses. L'or de mes entraves, luisait délicatement, au travers des dentelles de mes deux pantalons de dame.
- Mademoiselle "A" comment te sens tu ? Tu aimes des atours aussi féminin ?
J'avais a peine compris ce que l'on me disait. J'étais dans un état étrange d'excitation et de refus, non pas de refus, plutôt, de… Je devrais refuser tous cela… Mais je laissais faire… J'en prenais presque du plaisir, un désir de découvrir la féminité… un nouveau univers, délicat, élégant, sophistiqué… et troublant.
- Mademoiselle ! Dit Sophie plus fort.
- Sophie. Dis-je surpris, sortant de son rêve. Non, je oui, enfin, non, je n'y peux rien. C'est trop, c'est… Je ne voulais pas, même si je me sentais bien avec des talons, mais non, je ne veux pas, c'est trop, je voulais juste être avec toi.
- Tu mens. Tu rêvais à je ne sais quoi. Je suis sûre que tous cela te plaît.
- NON ! Non… Je me sens bizarre, ridicule… Je veux rester discret, me cacher. C'est tout.
- Ho non, ce n'est pas tout. Cela ne fait que commencer. Tu as signé un engagement, sans doute un peu légèrement, et bien tu vas le regretter, à moins que cela finisse par te plaire.
Quoi dire... Je ne voulais surtout pas lui avouer le plaisir troublant…
- Tu deviens vraiment mignon, non excuse moi, mignonne avec ta taille de guêpe, tous ces jolis volant de dentelle autour de tes hanches, et… ta jolie poitrine.
Je rougissais, encore, je ne pouvais pas m'en empêcher. Ce n'est que quand elles ont serré mon corset, que j'avais pâli, que j'étais alors proche de l'évanouissement, où peut être d'une langueur, une sensation d'abandon, presque de plaisir…
Caroline repris son travaille.
- Je vais te passer tes jupons. C'est indispensable pour toutes les jeunes filles. Et celles qui veulent vraiment être élégantes, se doivent d'en porter plusieurs.
Caroline m'enfila un premier jupon, qui s'étalait autour de mes jambes, gainée de soie. Me donnant une autre caresse voluptueuse. Suivit d'un cache corset descendant assez bas et amplifiant encore plus ma poitrine de fille. Par-dessus un deuxième jupon garni de multiple volants qui lui donnait beaucoup de volume. Un deuxième cache corset, encore plus élégant, garnis de dentelle, et lacé dans le dos pour qu'il soit bien tendu, sûrement pour mettre la finesse de ma taille, bien en valeur.
Ensuite, un troisième jupon, encore plus volumineux que le deuxième. Ces jupons s'élargissaient autour de mes jambes, pesaient sur ma taille, et bougeaient délicieusement autour de mes jambes qui avaient maintenant disparues, sous de multiples dentelles, délicates et vaporeuses.
J'étais rouge comme une pivoine. Mon sexe se tendait, du moins il essayait, enfermé dans ma ceinture de chasteté, péniblement replié entre mes jambes. Je ne savais comment me mettre, me positionner pour soulager la tension de ma verge, contre la plaque de ma ceinture de chasteté. Je n'arrivais pas à trouver une position confortable, d'autant que j'étais toujours enchaîné par les poignets et que mes entraves ne me permettais pas de trouver une position soulageant la tension de plus en plus forte de ma verge, contre la plaque métallique de ma ceinture "Future Mademoiselle"
La tante de Sophie dit, à ma plus grande honte.
- Comme cette demoiselle est charmante. J'adore le mouvement qu'elle donne à ses jupons. J'ai vraiment hâte de la présenter à ses futures amies. Mademoiselle Delphine ! Je compte sur vous, pour lui améliorer sa silhouette. Elle sera une très jolie jeune fille, surtout avec une taille encore plus fine. Bien ! Madame la Surveillante Générale ! Vous pouvez libérer les poignets de notre charmante écolière.
J'étais libre, debout, perché sur des hauts talons et les jambes entravées, mais libre. Pourtant, je n'osais pas bouger. Il me semblait qu'au premier pas, je m'écroulerais. Comment se déplacer avec les genoux serré l'un contre l'autre, et le buste aussi rigide, avec un corset aussi étouffant.
Je me sentais observé, détaillé, et je ne pouvais pas bouger. J'attendais une réaction, un signe. Je restais là, debout au milieux de la salle, au milieux de ces femmes…
Caroline, s'approcha et elle m'enfila un chemisier à manches courtes et bouffantes, très luxueux, garnis de dentelles autour du col. Ce chemisier, se fermait par des lacets dans le dos, ce qui demandait beaucoup de temps pour m'habiller. En fait, tous ce que je portais étaient lacés, pas un seul vêtement n'avait été boutonné ou agrafé. Elle utilisait toute sorte de lacets. Des lacets fins et quasi invisibles, d'autre sous forme de rubans de soie aux couleurs vives, d'autre encore sous forme de solides lacets de corset. Mon luxueux chemisier fut donc lacé, tendu sur mon buste, les dentelle au niveau de ma poitrine lui donnant encore plus de volume, me faisant encore plus rougir… de honte.
Caroline me laça un haut col de dentelle. Un col légèrement baleiné, très tendu sur le cou. Ce col me forçait à garder la tête droite, sans doute trop haute.
Par-dessus, Caroline m'enfila un bustier comme celui de Sophie, manche ballon, haut col. Le bustier était lacé dans le dos. Me serrant tous le buste, et plaquant mon chemisier. Dans le miroir, je pouvais voir comment il soulignait ma taille corsetée, comme celle de Sophie. Je voyais une jeune fille, bustier ajusté et jupons froufroutant, volumineux, comme un nuage de dentelles délicates, je me voyais, transformé, me reconnaissant à peine, tellement différent, tellement féminin.
Enfin, une longue jupe, étroite. Tellement étroite, que Caroline dû demander de l'aide pour serrer les jupons de dentelle sous la jupe. Je sentis la pression autour de mes jambes, une douce pression qui me ligotait dans cette jupe étroite. Mes jambes enfouies dans un univers de douceur, de volupté, mais également enfermées, bridées, prisonnières de multiples jupons, et d'une jupe particulièrement étroite.
J'étais maintenant, prisonnier des jupons, d'une robe étroite, et d'un épouvantable corset.
- Parfait dit Caroline. Mademoiselle "A" ! Voulez-vous faire quelques pas, et vous tourner que je puisse contrôler votre tenue.
Avancer avec mes jambes immobilisées, perché sur de très hauts talons. J'essayais de forcer, d'avancer un pied. Mais mes jupons serrés par ma jupe et mes entraves, me limitaient terriblement. Je n'osais pas, et ne pouvais pas lever le pied. Je réussi juste à le faire glisser un peu devant moi, le haut talon griffant le sol. Je réussi ainsi à avancer de quelques centimètres, lutant pour garder mon équilibre au sommet de mes talons. J'essayais vraiment de me déplacer, mais mes jambes bloquées, et mes très hauts talons, s'acharnaient à m'immobiliser. Je réussi quand même, à force d'essais prudents, de me déplacer un peu, de faire un demi-tour, presque sur place.
- Je n'arrive pas à marcher. Dis-je à Caroline ?
- Vous apprendrez. Répondis Caroline. Et se tournant vers ma tante, elle ajouta.
- Ma chère Florence, Mademoiselle est prête. Si tu le permets, je vais lui cadenasser sa ceinture métallique.
- Oui ma chérie. Vous avez fait du beau travail. Je dois dire que je n'y croyais pas. Elle est merveilleuse. Bravos Sophie, de nous avoir fais découvrir Mademoiselle "A". Il faudra lui trouver un nom qui lui aille, Un nom très féminin, en rapport avec sa délicate personnalité. Un seul reproche, ses cheveux ne sont pas très longs.
- Je sais ma tante, cependant, ils sont plus longs qu'à son arrivée. Je lui ai interdit de les couper. Elle me ressemble beaucoup, nous avons la même couleur, et ils sont aussi épais que les miens. Elle sera délicieuse dans quelque mois, quand ses cheveux lui cascaderont très bas dans le dos.
Non seulement Sophie m'avait interdit de me couper les cheveux, mais elle s'était assurée qu'il n'y avait pas de ciseaux dans ma cage. J'avais du mal à imaginer, d'avoir des cheveux comme ceux de Sophie, des cheveux aussi longs et aussi volumineux. C'est impossible, elle a des cheveux exceptionnels, je n'ai jamais vu une autre jeune fille avec des cheveux aussi épais que les siens.
Je voulus intervenir.
- Madame, je ne peux pas, et je ne veux pas être coiffé comme Sophie.
Florence se leva vivement, et me donna une gifle qui me surprit.
- Premièrement ! Dit Florence. Je suis une demoiselle ! Deuxièmement, vous devez parler de vous au FEMININ ! Et dire "coiffée" et non "coiffé". Troisièmement, vous n'avez pas à donner votre avis sur la manière de vous coiffer, ou de vous habiller. Nous seul en déciderons pour vous !
Je devais faire attention à ne pas contrarier Mademoiselle Florence. Elle voulait manifestement faire de moi une fille. Elle voulait une école strictement et complètement féminine.
- Caroline. Dit Florence. Voulez-vous bien essayer de la coiffer un peu mieux.
Caroline me pris par la main, et m'entraîna très très lentement, vers une chaise. Je n'arrivais pas à mettre un pied devant l'autre, entravé comme je l'étais par mes jupons et ma robe étroite.
S'asseoir ne fut pas facile. La jupe étroite, qui serrait les jupons contre mes jambes, m'empêchait de les fléchir. Caroline dû m'aider à m'asseoir en pliant le moins possible les jambes et en gardant le buste bien droit, rigide. Mes jambes étaient comme dans un cocon, très doux, mais très contraignant. Le contact avec la chaise était étrange, en fait, ma ceinture de chasteté, reposait sur trois points. Deux points d'appuis derrière, qui m'empêchaient de me pencher à gauche ou à droite, et un autre devant, qui me positionnait parfaitement verticale, sans pouvoir me pencher en avant ou en arrière. Je me retrouvais mi assis sur la barre qui me passait entre les jambes et mis suspendu par la ceinture de chasteté, dans une position parfaitement rigide et droite. En tous cas, dans une position forcée par mon étrange ceinture de chasteté qui m'imposait une posture droite et rigide.
Caroline me brossa les cheveux, leurs donna un peu de lustre et beaucoup de volume. C'était agréable, troublant de se faire coiffer, par une jeune fille aussi élégante, aussi fine, très menue. Des yeux vert, étonnants, qui contrastaient avec sa coiffure rousse, plutôt auburn. Une taille minuscule, plus fine encore que celle de Sophie, mais sans doute moins que celle incroyable de Delphine.
Mes cheveux, m'encadraient le visage, ils tombaient maintenant sur mes épaules, me caressaient les joues.
- Madame, Mesdemoiselles ! Dit Florence. Vous avez le reste de la journée pour un début d'éducation de notre nouvelle écolière. Préparez là pour une présentation aux autres élèves de l'école. Mademoiselle "A" fera officiellement partie de l'école des Sylphides dès ce soir. Faite donc préparer une chambre pour notre pensionnaire. Une chambre pour une personne seule. Je suggère la chambre 208, celle juste à coté de la chambre de Sophie.
Et Florence parti.
Une chambre à coté de celle de Sophie. Je n'aurais jamais espéré mieux.
Caroline et Delphine, m'aidèrent à me lever, me percher au sommet de mes hauts talons, me tenir droit, non droite, je dois dire droite.
Il nous fallait maintenant sortir des sous-sols. Ont se rendit vite compte que ce ne serais pas simple. J'avais beaucoup de difficultés pour me déplacer. Caroline pris une décision raisonnable.
- Je propose que l'on utilise le monte charge de la salle "Polaire" Il est tous près d'ici, et la salle "Polaire" n'est pas utilisée ce matin. Mademoiselle "A" pourra y faire en toute discrétion son premier apprentissage. Je propose de se concentrer sur sa marche, et son attitude.
Delphine ajouta.
- Nous devons également lui apprendre à s'asseoir. Elle a eu beaucoup de difficultés avec ses jupons comprimés autour de ses jambes et la longueur de son nouveau corset.
La Surveillante Générale intervint également.
- Je dois partir. J'ai des ordres à donner pour préparer la chambre 208.
- Bien sûr. Dit Delphine. Ce serait bien, si vous pouviez faire installer une barre de laçage, et un treuil à corseter. Madame la Directrice a bien spécifié, que Mademoiselle "A" ne doit pas rester debout sans corset. Elle devra donc suivre le régime spécial pour l'entraînement à la taille de guêpe. Voyez mes collaboratrices dans les ateliers de corseterie. Elles ont en réserve, une barre de laçage simple, qui sera parfaite pour une petite chambre. Il devrait y avoir également, un petit treuil à corseter qui se fixe au mur.
Une barre de laçage, l'entraînement à la taille de guêpe, apprendre à marcher et à m'asseoir… Il est vrai que j'étais dans une école, mais quel genre bizarre d'école ?
- Une dernière recommandation que nous connaissons toutes. Dit Delphine. La particularité sexuelle de Mademoiselle "A" doit rester secrète. Un secret absolu.
Oui surtout que cela reste secret. Je ne pourrais jamais accepter que l'on me reconnaisse habillé et corseté ainsi. Personne ne devra jamais le savoir. Je regrettais presque que Sophie le sache.
Elles firent toutes un signe de tête approbateur. La Surveillante Générale partit. Delphine aidée de Caroline, pour me soutenir, m'emmenèrent vers le monte-charge. Elles durent me soutenir, en m'aidant à marcher à pas minuscules.
Arrivés dans la salle "Polaire", au rez-de-chaussée. Ont commença immédiatement les exercices de marche, avec mes très hauts talons, et ma jupe entravée.
C'était vraiment nécessaire. Ma jupe étroite m'entravait énormément la marche. Caroline m'appris à faire glisser les jambes l'une contre l'autre pour faire un pas, sans écarter les genoux et avec des pas minuscules. Il me fallait garder l'équilibre sur mes hauts talons et avec mes jambes entravées. A chaque pas, mes jupons et mes bas de soies me caressaient voluptueusement. C'était troublant de me déplacer ainsi, chaque pas, chaque mouvement, était devenus une caresse, une sensation érotique, troublante et excitante. Je me noyais dans la douceur de mes multiple jupons, mon corset en m'étouffant participait également à cette sensation de plaisir trouble, comme une jouissance à bout de souffle.
Le midi, nous ne quittions pas la salle, ont mangea sur place, après que Delphine eu resserré le corset de Sophie. Comme tous les jours avant le repas, me confia Sophie. Un repas très léger, que l'on touchait à peine, pour cause de corset trop serré. Nos estomacs devaient avoir une taille minuscule. Je mangeais de moins en moins, et j'avais continuellement faim. Sophie me confia avoir le même problème avec la nourriture, avec son corset encore plus étroit que le miens. Mon corset m'obligeait à grignoter toute la journée, de toutes petites quantités de nourriture. Cela avait pour effet de me faire maigrir, d'avoir maintenant, une silhouette fine. Pourtant, Delphine nous recommandait de manger le plus possible, de forcer à avaler, presque à étouffer. Ont ne devaient pas maigrir, mais seulement nous affiner la taille. Les régimes font maigrir de partout et vous donne un teint cireux, un teint de malade, les bras maigres, les joues affreuses, plus de poitrine et plus de hanche. "Ce n'est pas le but que nous recherchons" avait-elle affirmée. Elle nous voulait avec des formes et une taille minuscule. "Pour cela, le corset serré en permanence, est indispensable, et suffisant."
Mes entraînements durèrent toute l'après midi. J'avais terriblement mal aux pieds. Heureusement que l'on faisait régulièrement des poses, et que l'excitation de la caresse de mes jupons, de mes bas de soie et de mon corset qui m'étreignait avec tant de force, me faisaient oublier la douleur de mes pieds. Je savais maintenant me déplacer, quoique très lentement et je pouvais m'asseoir à condition de prendre quelques précautions et de garder mon buste bien droit. Ce qui de toute façon, était la seule attitude permise par mon nouveau corset. Chaque fois que je me baissais pour m'asseoir, mon corset me pressait comme s'il voulais m'écraser encore plus le ventre, comme une main gigantesque et forte, qui me compressait, me malaxait et m'excitait à un point inimaginable. Ce corset me laissait en excitation permanente. J'aurais voulus, m'isoler, me soulager, détendre mon sexe douloureusement replier entre mes jambes. Enfermé et cadenassé.
La journée finissait, et Sophie semblait pressée de me présenter dans la classe, aux autres écolières. Je n'avais pas du tous le même empressement. Je ne me sentais pas capable d'affronter une classe de jeunes filles, qui risquaient vite de me découvrir. La décision était prise, le groupe se prépara à monter au deuxième étage. Mais je n'étais pas encore capable de monter des escaliers. Aussi, elles prirent la décision de monter au deuxième étage par le monte-charge de service qui desservait touts les étages, depuis les cuisines au sous-sol.
Ont sortit de la salle "Polaire", et ont rejoignit le monte-charge au bout du couloir. Je n'imaginais pas être aussi lent pour me déplacer. Le frottement de mes jambes gainées de soie, le bruit de mes jupons, tous cela et mon épuisement, mon essoufflement permanent, m'avait mis dans un état d'excitation incroyable. Arrivé au deuxième étage, ont dû traverser un long couloir, pour atteindre enfin la salle de cours. Je me déplaçais particulièrement lentement, tellement mes jupons m'entravaient. Avant d'entrer dans la classe, ont fit une pose de quelques minutes, le temps que je reprennent mes esprits, que je me calme un peu, et que je retrouve une respiration moins saccadée, plus apaisée.
A notre entrée, le professeur fit se lever la classe, et ont entra, Delphine et Caroline en tête. Je suivais en me tenant au bras de Sophie.
J'étais paniqué, à l'idée que l'une des élèves puisse percer à jour mon identité. J'avais l'impression qu'elles pouvaient voir en moi, que je ne pourrais rien leurs cacher, que je serais ridiculisé. Je dis tous bas à l'oreille de Sophie
- Sophie, ne me quitte pas, ne me lâche pas. Je t'en supplie, ne me fait pas parler, je ne pourrais jamais me présenter moi-même.
Madame la Surveillante Générale était déjà dans la classe et elle pris la parole.
- Mesdemoiselles, je vais vous présenter une nouvelle élève, qui vient d'arriver ce matin dans notre école. Elle est très timide, et je vous demanderais de respecter sa discrétion. Cette nouvelle élève intégrera le groupe MLC, "Magnifique, Lumineuse et Charmante" Ainsi chaque groupe sera constitué de quatre membres. Pour l'instant, la famille de cette demoiselle, ne désire pas révéler son nom.
Il y eu un brouhaha de conversation à voie basse, d'étonnement.
La panique montait, je devais être rouge.
- Sophie, je ne veux pas rester, je veux partir, me cacher. J'ai tellement honte, j'ai peur que l'on découvre qui je suis. Je suis certain qu'elles verront que je ne suis pas une fille.
Sophie me donna un coup de coude discret.
- Mademoiselle, vous devez dire "certaine" et non "certain" Je te conseille de surveiller ton langage et de parler de toi au féminin !
- Un peu de silence je vous prie ! Cette situation ne devrait pas durer, provisoirement, nous l'appellerons Mademoiselle "A". Bien ! Mesdemoiselles Sophie et "A" veuillez rejoindre vos places.
Sophie m'entraîna, à pas minuscules, la peur de trébucher, de tomber, d'être découvert… découverte et ont s'installa debout, derrière son bureau. Je n'étais vraiment pas à l'aise, et je devais avoir le visage rouge. J'essayais de regarder partout sans trop tourner la tête, n'osant pas regarder qui que ce soit dans les yeux. Enfin, ont nous autorisa à nous asseoir, ce que je craignais. Sophie dû me soutenir, m'aider à m'asseoir. Je me tenais raide, penchée en arrière pour soulager la pression du busc de mon corset sur le haut des cuisses, mais la barre de ma ceinture de chasteté, qui me passait entre les jambes, me propulsât en avant, m'obligeant à me tenir, le buste parfaitement verticale.
Je lui dis tous bas.
- Sophie, je ne me sens pas bien. Il y a un instant, quand ont étaient debout, j'avais horriblement chaud, et maintenant, j'ai des sueurs froides, je respire difficilement.
- C'est ta position sur la chaise. Quand ont porte une jupe serrée et un long corset, il vaut mieux s'asseoir sur le bord des fesses. C'est plus inconfortable, mais ont respire mieux, le corset appuie un peu moins sur le haut de la poitrine.
J'essayais d'appliquer son conseil, mais la barre horizontale qui me passait entre les cuisses, m'en empêchait. Ma ceinture de chasteté avec cette barre, m'obligeait à me tenir parfaitement verticale, et le bord du corset me blessait douloureusement le haut de mes cuisses.
Heureusement pour moi, les cours étaient terminés. La classe se leva, et sortit après le professeur. Ont suivit lentement, sortant les derniers.
Delphine et Caroline nous attendaient à la sortie de la classe. Deux autre jeunes filles, très belles, minces, la taille vraiment fine, presque de la même taille, l'une blonde et l'autre, les cheveux châtain foncés. Je venais de rencontrer Gwendoline et Solange qui nous rejoignirent, et Sophie put faire les présentations. Je fus, particulièrement bien accueillie. Elles m'embrassèrent tendrement. J'en rougissais de plaisir, et à aucun moment, il n'y eu le moindre soupçon pesant sur mon état de "Demoiselle".
- Mesdemoiselles. Dit Delphine. Il nous faut prendre congé. Vous aurez tous le temps demain pour faire connaissance. Je suis certaine que vous vous entendrez merveilleusement bien. Mais Mademoiselle "A" doit se reposer après son long voyage. Elle va loger dans la chambre 208, à coté de celle de Sophie. Ont doit la préparer pour son coucher, Bonne soirée, nous nous retrouverons demain. J'ai réservé pour vous quatre, la salle Léoty. Durant l'épreuve du groupe ADI, nous n'avons pas le droit de quitter le deuxième étage, ni de regarder par les fenêtres donnant sur les jardins. Ainsi, nous aurons toute la journée pour discuter et faire connaissance. A demain mes chérie. Sophie, Gwendoline et Solange s'éloignèrent, pendant que Delphine et Caroline, m'entraînaient à petits pas vers ma chambre.
Caroline et Delphine, me soutenait, m'aidaient à marcher lentement, sur mes hauts talons, qui me déséquilibraient, me faisait mal au pied, en les cambrant au maximum. Je marchais vraiment sur la pointe des pieds. De toute façon, mes jupons compressés par ma jupe étroite, me serraient les jambes, m'empêchant de faire des pas normaux. C'est en piétinant que j'approchais de ma chambre. Elle était entre l'escalier de service et la chambre de Sophie. La chambre que j'avais visité, il y à plus d'un mois. Une chambre de la quel partait un escalier, qui débouchait au premier étage, dans les véritables appartements de Sophie.
Ma chambre n'était pas grande, un lit d'une personne, un coffre au pied du lit, une petite table de travail, un meuble bas, une "coiffeuse" avec un siège du même style, sans dossier, et… une mécanique fixée au mur, un treuil, d’où partait une corde solide, passant par des poulies, et finissant par un trapèze au milieux de la chambre.
- Tu as remarqué le trapèze et son treuil. Me dit delphine. Peu de chambres sont équipées de ce système. Il est réservé aux jeunes filles, qui suivent un entraînement spécial à la taille de guêpe.
- Mais pourquoi, quel rapport avec les tailles de guêpe ?
- C'est très simple, tu vas suivre cet entraînement spécial. Une des contraintes de cet entraînement, est que tu ne devras plus jamais te tenir debout, ni même assis sans le support de ton corset. Tes muscles abdominaux ne devrons plus jamais te servir à te tenir droite, ne fusse que quelques minutes. Ainsi, pour changer de corset, tu te suspendras au trapèze, que l'on soulèvera. Ainsi suspendue dans le vide, ont pourra te délacer et te corseter de nouveaux, sans que tu doives faire le moindre effort pour rester debout sans le support de ton corset.
- Mais pourquoi ?
- Mais pour accélérer l'atrophie de tes muscles abdominaux, et ainsi pouvoir te serrer encore plus, gagner quelques précieux centimètres de tour de taille. Un autre raison, est que après quelques mois de ce régime, tu ne pourra plus te passer de ton corset.
- C'est la ceinture cadenassée, qui m'empêche de quitter mon corset. Rien d'autre.
- Aujourd'hui, sûrement. Mais dans quelque mois d'entraînement intensif, tes muscles abdominaux auront fondu et tu seras incapable de rester debout, sans l'aide d'un solide corset, bien rigide et fermement lacé.
Ce que m'expliquait Delphine était fascinant, effrayant et fascinant.
- Ont vas t'aider à te déshabiller. Je pense que tu dois être fatiguée, et demain, les exercices reprendront.
Caroline et Delphine, me délacèrent mon bustier, ma jupe, mon beau chemisier, lacé dans le dos.
Ensuite, Delphine me positionna au centre de la chambre, sous le trapèze. Je dus passer mes poignets dans des boucles de cuir, qui me fixaient à la barre du trapèze. Caroline actionna le treuil, et elle me souleva du sol.
Il fallut beaucoup de temps pour m'enlever mes jupons, mes caches corset, mes pantalons de dentelle. C'était un cérémonial minutieux et précis. Il y avait comme une habitude à déshabiller une fille portant des atours aussi compliqués. J'étais en corset, et hauts talons. Caroline sorti une clef, et ouvris ma ceinture de chasteté. Ensuite, elle défit mes bas et mes bottines à hauts talons, pendant que Delphine me délaçait mon corset.
C'était la deuxième fois aujourd'hui que l'on me libérait de la terrible étreinte de mon corset. C'était un plaisir de sentir la pression sur mon corps se relâcher. Durant mon entraînement dans les sous-sols, je n'avais quitté mon corset quelques minutes, que deux fois, pour revêtir aussitôt un autre corset plus étroit, et de nouveau cadenassé 24 heures sur 24.
L'air frais sur mon ventre me faisait un bien délicieux, mais ensuite, je ressentais des picotements sur tout le buste. Delphine devait le savoir, car elle me frictionna aussitôt, avec une lotion apaisante.
Caroline me dit.
- Parce que tu portes une ceinture de chasteté, je suis là seul avec Mademoiselle Florence à pouvoir te libérer. Nous te ferons ta toilette nous même. Ont ne peux pas demander aux servantes de le faire. Elle découvrirait très vite, ce que ton sexe a de spéciale. Nous seul le savons et ont doit garder le secret.
Toujours suspendue. Caroline glissa sous moi, un bassin rempli d'eau pour ma toilette. Quand ce fut fait, Delphine me laça un corset différent, me laissant le haut de la poitrine libre, mais descendant bien plus bas, descendant jusqu'aux milieux de mes cuisses. Elle le laça sans vraiment me serrer, mais je sentit la rigidité du busque sur le devant, en fait, une plaque d'acier, cousue dans le panneau de devant du corset.
- Ce corset t'étonne !
- Mais il est d'une raideur. Je sens le poids d'une plaque rigide. Je ne pourrais pas marcher et encore moins m'asseoir enfermée là dedans.
- C'est un corset de nuit. Me dit Delphine. Il n'est pas question avec un tel corset de t'asseoir, ni de marcher. Tu ne pourras que rester couché dans ton lit. Le devant, est, comme tu l'as deviné, constitué d'une plaque d'acier. Elle est destinée à rigidifier le corset, à te bloquer dans ton lit, et à t'empêcher de jouer avec ton sexe sans permission. Bien, je vais maintenant te serrer.
Elle fit basculer vers moi une mécanique, un gros tampon de cuir, se plaça contre mon ventre. Devant ce tampon, il y avait deux tambours de treuil, actionnés par un levier. Delphine pris les lacets de mon corset, les croisa dans mon dos, et elles les faisaient passer devant, pour les accrocher aux deux tambours du treuil. Ensuite, elle demanda à Caroline d'actionner lentement le levier, les lacets se tendirent, mon corset se rétréci implacablement. La traction des lacets écrasait mon pauvre ventre, contre le tampon de cuir. Elle avait ainsi une force incroyable. Ma taille ne pouvait résister, elle ne pouvait que céder sous la pression de plus en plus forte.
Mon corset me re-comprimait de nouveau, inexorablement. Lentement, mais sans faiblir, avec une force décuplée par la mécanique. Il n'y avait pas seulement ma taille qui était comprimée, mais également mes hanches et mes cuisses serrées ensembles. La rigidité était impressionnante, elle me faisait peur, tellement implacable.
Mais bizarrement, j'aimais le moment ou mon corset commençait à me serrer de plus en plus fort. J'aimais ce moment, désirant qu'il me serre encore plus. Moment magique, avant que des douleurs dans mon ventre et ma poitrine n'apparaissent.
Delphine réglait le serrage des lacets dans mon dos, pendant que Caroline actionnait impitoyablement le treuil. Elles durent s'y reprendre à plusieurs fois avant d'atteindre les 53cm obligatoires. Elles avaient avec ce treuil une force incroyable, mais il fallait me serrer lentement, pour que je ne m'évanouisse pas durant mon corsetage.
J'étais de nouveau douloureusement comprimée. J'étouffais et j'étais au bord de l'évanouissement, tellement le corset me serrait effroyablement. Caroline me fixa deux ceintures métalliques, et cadenassées par-dessus mon corset, une au niveau de ma taille, et l'autre en bas de mon corset, à mi-cuisse. Ma taille était de nouveau réduite, comprimée ainsi que mes cuisses, et mes hanches. Elle m'enfila des mules à hauts talons, avant de faire redescendre le trapèze.
- N'oublie jamais. Me dit-elle. Tu dois être corsetée en permanence. Tu n'as pas le droit de poser le pied à plat sur le sol. Les hauts talons sont obligatoires. Et enfin, tu porteras en permanence, une ceinture de chasteté ou un corset spécial et blindé.
- Maintenant ! Au lit. Dit Delphine.
J'était debout, de nouveau perché… perchée sur mes hauts talons, et en plus complètement immobilisée dans ce long corset. Je ne pouvais pratiquement plus bouger. Delphine et Caroline durent presque me porter jusque dans mon lit, ou elles me basculèrent en arrière, tellement je devais me tenir rigide, sans pouvoir fléchir les cuisses.
Elles me couchèrent, corsetée, le sexe enfermé sous le busque d'acier du corset, et elles sortirent de la chambre en fermant la porte à clef.
Ce matin était si loin, je m'appelais… Je dois l'oublier, maintenant, j'avais changé, j'étais une fille, une fille sans nom, Mademoiselle "A". Bientôt, j'aurais un vrai nom, sûrement un nom… de fille, un nom charmant… sans doute, très féminin.
Fin du livre I Histoire d'A
Histoire d'A L1 et L2
Histoire d'A, Livre 2 Chapitre I
Histoire d'A, Livre 1 Chapitre VII
(Histoire parallèle)
Souvenir de Sophie, L2 Chapitre XVIII
Retour aux textes Retour page d'accueil