Une belle rencontre entre un homme et une femme. Tous les deux, fétichistes des talons hauts.
Une femme habituée depuis longtemps de marcher sur des talons très hauts.
Une rencontre dans le respect de l'autre et réalisant progressivement leurs désirs intimes.
Une belle histoire qui leur fait découvrir le corset, ces contraintes, et ces effets sur la silhouette.
Une histoire ou l'un et l'autre parcourent un chemin qui les rapproche.
Texte écrit par François L - 2021
En remontant dans ma mémoire, je pense que j'ai toujours été profondément fétichiste. Mes premiers souvenirs précis sont vers mes 10 ans avec une jeune femme qui venait s'assoir sur un banc en face de chez nous. Je pouvais longuement regarder avec émotion ses longues jambes gainées de collants noir et ses chaussures à talons. A cet âge, ce n'était pas encore de l'excitation mais de l'émotion.
J'ai donc rapidement porté mon attention sur les femmes portant des talons avec de jolies jambes et de jolies fesses.
Mon adolescence a été normale, avec des petites amies, mais sans recherche fétichiste particulière. Je l'avais mis de côté. Une exception toutefois à la lecture d'Histoire d'O que mon père avait oublié de ranger, sur les passages où l'héroïne est étroitement corsetée. Une profonde émotion m'a envahi à cette lecture, avec une envie de me retrouver à sa place pour vivre cette sensation de serrage et de vie en corset. Avec le recul, je me demande si je n'ai pas vécu dans une vie antérieure la vie d'une femme corsetée ?
Ça a été une sorte de déclic sur non seulement l'envie de vivre avec une femme portant ce genre de choses (talons, corset, bas), mais aussi de partager cela avec elle. Mais cette sensation a été oubliée, ou plus exactement "mise de côté".
Puis arrive l'université, dans la logique de mon adolescence, des relations féminines sans fétichisme particulier, jusqu'à cette soirée étudiante.
En plein milieu de cette soirée, mes yeux ont été attirés par une paire de bottines à talons hauts, et en remontant de jolies jambes et des fesses superbes moulées dans un jean, qui à l'époque se devait être porté le plus serré possible sans la facilité du stretch d'aujourd'hui. Et en plus un superbe visage souriant. Je venais de rencontrer Cathie
Rapidement nous avons vécu ensemble.
Dans sa famille, une espèce de tradition pour les filles, le port des talons hauts est de rigueur. Comme pour sa soeur ainée, le jour de ses 16 ans Cathie a reçu comme cadeau 4 paires de chaussures : bottes, bottines, escarpins et sandales à talons de 10 centimètres, et toutes ses chaussures plates ont été jetées. A notre première rencontre, Cathie avait presque 2 années en talons permanents, ce qui expliquait son aisance et sa fluidité dans la vie courante avec de telles chaussures. Le soir de notre rencontre, c'étaient même des talons de 12 centimètres, sa mère souhaitant intensifier cette pratique. Si elle avait trouvé la première année compliquée par cette exigence familiale imposée aux femmes, à 16 ans on a envie de liberté, Cathie avait adopté la vie en talons.
Tout le fétichisme ancré en moi s'est alors mis à jour.
J'ai toujours le souvenir de la première invitation chez ses parents avec sa mère en talons de 15 centimètres, sa soeur en 14 centimètres et son père fétichiste des talons. Inutile de vous dire que la soirée a été consacrée à ce sujet, mon avis sur la chose, etc. J'ai été rapidement adopté, plus facilement que le copain de la soeur de Cathie qui, lui, n'avait aucune attirance de ce type.
Fin des études, la vie active pour nous deux, une vie d'un couple classique avec seulement une petite touche sur le port des talons en permanence par Cathie. Selon les activités (longueur de marche, vie professionnelle ou pour s'amuser) Cathie portait entre 10 et 16 centimètres, avec toutes formes chaussures (des sandales aux cuissardes) et de talons : stilettos, large ou compensés, pour son bonheur et pour le mien.
Rajoutez le plaisir de la lingerie et des bas, nous étions parfaitement heureux.
François et Cathie en corset
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Texte écrit par François L - 2021