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François et Cathie en corset


XI - Il faut souffrir pour être belle


Nous avions pris notre rythme tranquillement entre la vie active, la vie privée, et le corset. Ahn venait fréquemment passer des week-ends chez nous, voire quelques vacances ce qui était facile et agréable pour elle étant célibataire et très prise par son travail de médecin.


Nous continuions à notre rythme la réduction de taille, sans objectif précis, Ahn avait insisté : "en écoutant notre corps, sans brusquer les choses "


Cathie avait perdu tout son surpoids, et avait même profondément changé de forme de corps, pas simplement sur sa finesse de taille due au laçage, mais sur tout le reste. Elle avait un peu plus maigri (le corset qui limitait les quantités de nourriture, mais aussi la diététique) avec un corps plus ferme et des muscles plus visibles. Elle était superbe. Personnellement je n'avais pas perdu grand-chose personnellement n'ayant pas de surpoids avant de commencer le corset grâce à une pratique importante du sport, le corset avait pris le relais. Bien qu'ayant arrêté le sport, avec mon laçage 23/7 (j'avais gardé de longues marches toutefois) je n'avais pas grossi.


Cathie était arrivée à 55 centimètres, sans trop de soucis, même si les délais étaient plus importants entre 2 réductions, ce qui était logique. Il fallait plus de temps pour que sa cage thoracique prenne la forme du corset et que des organes trouvent leur place. Tout cela était bien entendu accompagné par de nouveaux corsets, faits sur mesure.


Je l'ai lacée un samedi matin à 54 cm, selon le rituel établi par Ahn pour continuer sa réduction. J'ai vu tout de suite que c'était compliqué pour elle.


"Ça va ? "


"Oui chéri, tu sais c'est normal. Tu comprends aussi. Il faut un peu de temps pour s'habituer. Mais là je sens que c'est une étape "


J'ai fait le noeud et je l'ai aidée à finir de s'habiller. Les 2 heures qui ont suivi, je voyais tourner un peu en rond, les mains sur sa taille, et elle est allé s'allonger avant le déjeuner. Cela lui a fait du bien. L'après-midi a été difficile avec une douleur en bas de sa cage thoracique qui persistait. En rentrant d'une petite promenade, elle a appelé Ahn. Après une consultation à distance, pour Ahn il n'y avait rien de grave, que plus on se rapprochait de ses limites physiques, plus il y avait des désagréments car le corps luttait. Elle lui a conseillé de prendre des anti-douleurs et surtout de se détendre. Le retour pour la nuit 55 centimètres était proche. Et effectivement tout est rentré dans l'ordre avec le laçage pour la nuit à 55 centimètres.


Le lendemain matin, je lui ai demandé si je devais la relacer à 54 centimètres, elle m'a dit oui car c'était un dimanche, qu'elle pourrait gérer. On verrait cependant lundi matin pour le travail.


En cherchant effectivement de ne pas lutter contre le corset, de se détendre, c'était moins pénible. La douleur n'est apparue qu'en début d'après-midi. En s'allongeant de temps en temps c'était gérable. Le retour à 55 a été bien venu.


Courageusement Cathie a été relacée à 54 pour sa journée de travail, se disant que si besoin elle pourrait relâcher ce petit centimètre si c'était trop douloureux. Ahn était d'accord.


Entre pauses, petites marches pour se détendre et anti-douleur, la journée s'est passée quand même et Cathie est restée à 54 centimètres.


Le lendemain, son patron a voulu la voir. Il avait remarqué qu'elle n'était pas bien. Avec toute franchise, il y a une grande relation de confiance entre eux, Cathie lui a expliqué qu'elle était en train de réduire sa taille, et que cette étape était difficile. Si elle avait montré sa taille au travail quand elle avait atteint son objectif de 62 centimètres et donc assumé le port d'un corset, la réduction progressive n'était pas perceptible pour son patron et ses collègues. Il lui a proposé de réduire son temps de travail quotidien si besoin le temps de franchir cette étape, et en plus ils ont choisi ensemble un siège plus ergonomique pour elle. Il était trop content d'avoir à ses côtés une femme lacée et en talons hauts. Beaucoup d'hommes sont très fétichistes ! Toutefois il est toujours resté courtois sans faire la cour à Cathie. Un homme vraiment bien.


Difficilement, par la douleur qui venait quelquefois et aussi plus de réduction du souffle et des mouvements Cathie a fait sa semaine. Toutefois nous avons décelé une rougeur sur sa peau à l'endroit de la douleur. Heureusement Ahn venait le week-end.


Elle l'a auscultée, et a conclu que c'était une côte qui avait un peu plus de mal à se cintrer, et donc aussi un pincement de la peau à cet endroit entre la cote et une baleine du corset. Heureusement c'était pris à temps, Cathie n'aurait pas besoin de se délacer le temps de guérison de la rougeur.


Nous avons donc découvert à ce moment l'importance de l'entretien de la peau sous le corset, comment faire en cas de rougeurs, et aussi le pourquoi de cette réduction en 2 temps. Plus la réduction était importante, plus cela risquait de se produire.


Pour Ahn c'était une étape physique mais aussi un peu psychologique. Il fallait que son corps accepte de lâcher prise pour aller au-delà de cette étape. D'après elle, sa constitution physique et les sensations de Cathie, ce n'était pas encore sa limite. Ahn a longuement parlé seule à seule avec Cathie. Elle lui remonté le moral, donné du courage et Cathie a donc accepté de continuer malgré la difficulté.


Il lui a fallu un peu plus de 5 semaines cette fois ci pour s'adapter sans douleurs à ses 54 centimètres dans la journée avant de passer aux 54 de nuit. Puis un mois complet avant de passer aux 53 centimètres.




  Ch.XII - Ma progression

  Ch.X - Un peu plus loin dans le "partage"









François et Cathie en corset


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Ahn

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Texte écrit par François L - 2021




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