Je suis conduite dans le bureau de Mademoiselle Claudia. Elle m'explique ce que je dois faire.
— Bonjour Béatrice, tu es très belle avec cette robe. La largeur, le volume des jupons met bien en valeur ta taille corsetée.
— Merci Mademoiselle.
— Voilà ton épreuve. Tu dois te faire coiffer et ensuite, revenir dans l'école. Voilà l'adresse, le rendez-vous est dans deux heures. Je te donne aussi deux tickets pour le métro. Pas d'argent, le coiffeur a déjà été payé. On va te conduire à la station de métro, mais ensuite, tu dois te débrouiller seul.
Je regarde l'adresse. Oui au moins cinq stations et ensuite, quelques centaines de mètres pour arriver chez le coiffeur.
— Mademoiselle, je dois prendre le métro, habillée ainsi ? Avec un décolleté aussi prononcé ?
Et je pensais surtout au godemichet enfoncé dans mes fesses.
— Bien ! Angélique, vous conduisez cette personne à la première station de métro. Une voiture vous attend.
Angélique m'attrape le bras et m'entraîne rapidement en dehors du bureau, vers la voiture, qui démarre de suite.
Cinq minutes plus tard, je suis devant l'entrée du métro. Une foule rentre dans le souterrain. Des gents pressés qui ne voie rien. Enfin pas tous, en me voyant, j'entends des sifflets qui me gênent. Vite, je descends les escaliers. Dans la foule, compacte, on ne me remarque pas trop. Mais sur le quai, une femme passant à côté de moi, me regarde, en souriant
— Whaw !
Et s'éloigne en me faisant un clin d'oeil. Je fais trop poupée, je me sens déplacée. Je ne sais où aller pour me cacher en attendant la rame du métro.
Enfin, il arrive, je vise une voiture où il y a le plus de femmes, mais pas facile.
Deux stations plus tard, un homme entre, me regarde avec insistance. Il me dévisage, plonge son regard sur ma poitrine. Je veux me sauver, m'enfuir, mais où ? Il s'approche, se colle contre moi, je me sens mal. Il me fait horreur. Je sens une main baladeuse, vers mes fesses. Il va découvrir le gode. Ho non. J'essaye de le repousser, mais cela l'excite encore plus. Je panique... je crie et le gifle de toutes mes forces. Il est surpris, mes voisins aussi. Le métro s'arrête, il sort, s'éloigne. Je tremble de peur, d'énervement. Une jeune fille me parle, me rassure.
— Il est parti.
Je me dis que cela devait arriver, avec un décolleté qui expose beaucoup trop ma poitrine et cette robe, personne ne prend le métro avec une robe pareil.
Je descends de la rame. Sortir de ce métro, vite... Je suis dans une rue commerçante, beaucoup de public. J'essaye de marcher le plus vite possible, aussi vite que le permettent mes talons. Chaque pas saccadé, fait bouger ce sale truc enfoncé en moi. J'entends encore des sifflets, des regards appuyés, que je ressens lubriques. Mais ce n'est sans doute pas étonnant, je dois être un spectacle en marchant vite avec des talons vertigineux, une robe qui danse, et ce décolleter que je déteste.
Je vois l'enseigne du coiffeur. Vite, sortir de cette rue, de la foule.
Je rentre dans le salon de coiffure, essoufflée. Trop courus avec des talons trop hauts et un corset trop serré. "Trop" va devenir ma devise, tout est trop en moi, ma robe trop large, le bustier trop décolleté.
Je dis un "Bonjour." À bout de souffle.
— Bonjour... je suis...
Je n'arrive pas à reprendre mon souffle. Mon corset me l'interdit durement. Je sens la pression sur ma poitrine. Impossible de respirer normalement. Je dois me calmer, mais je suis vraiment à bout de souffle. La coiffeuse m'accueille gentiment et me propose de m'asseoir.
— Je suppose que vous êtes Béatrice ?
— Oui Madame. J'ai couru. Je n'aurais pas dû faire ça.
— Asseyez-vous tranquillement, on a tout notre temps, vous m'appellerez quand vous serez reposée.
Elle me conduit vers une chaise. Je m'apprête à m'asseoir. Ho, mais mon corset ! Je ne peux pas m'asseoir normalement. Alors, j'essaye de m'asseoir lentement sur le bord de la chaise, en me pliant le moins possible.
— Je vais vous aider Mademoiselle, je suppose que vous portez un corset. Cela se voit et je me doute que s'asseoir ne soit pas facile avec ce genre de corset.
Elle m'aide à me baisser, m'asseoir
— Hooo
— Désolée, c'est votre corset, je suppose.
Je réponds que oui, mais en fait, au moment de m'asseoir, le godemichet c'est enfoncé brutalement en moi, avec la partie la plus large. Je suis assise sur mon gode. C'est une horreur, mais je ne veux rien dire, je reste assise, sans un mot, immobile, l'anus dilaté, le godemichet profondément en moi. Ne plus bouger d'un millimètre.
— Je vous laisse vous reposer.
Elle s'éloigne. Ne plus bouger, reprendre mon souffle, endurer cette chose en moi. La coiffeuse termine avec une cliente, je me lève lentement avec précaution. Le godemichet ressort un peu, j'ai les fesses en feux, mais petit à petit, je sens un soulagement venir. La tension de mon anus a baissé. C'est presque un plaisir honteux. Debout, la pression dans mes fesses a encore diminuée. Je me sens mieux.
La coiffeuse m'invite à prendre place dans un fauteuil. Je panique un peu, comment faire avec le corset et surtout ce truc qui me pénètre en permanence. Je me baisse lentement et j'essaye de prendre appui sur mes cuisses, plutôt que mes fesses. C'est assez inconfortable et m'oblige à me pencher en avant. En fait, je n'y arrive pas, juste ne pas trop m'appuyer. Peser le moins possible sur le gode. Je dois me redresser un peu. Ce qui fait pénétrer le gode en moi. Je cherche l'équilibre entre être assise, lutter contre le corset et limiter un peu ma pénétration.
— Je vais vous laver les cheveux Mademoiselle. penchez vous en arrière pour le bac de lavage.
Ho non. Elle m'attend. Alors, lentement, je me penche en arrière. La rigidité de mon corset m'oblige à basculer d'un bloc en arrière. Je le fais avec d'infinies précautions. Le godemichet s'enfonce en moi lentement. Me rien dire, subir en silence. Il est gros, me fait mal. Je serre les dents, il me pénètre plus profond, me dilate encore plus. Sourire crispé. Concentration sur ma coiffure, mais je ne peux oublier ce qui me torture les fesses.
Après le lavage de mes cheveux, je peux me redresser. Le gode ressort un peu. Je suis soulagée, mais mes fesses me brûlent encore.
Je passe près de trois heures chez la coiffeuse. Teinture, soin, permanente avec de gros bigoudis ridicules. Je cuis sous le casque. Elle m'explique qu'elle me fait une permanente forte. Ma coiffure ne devra pas bouger.
Elle me rassure, que je serais coiffée en accord avec ma robe large.
Enfin, le vacarme du casque est fini. Un peu d'air frais me soulage. Elle entreprend de me brosser les cheveux, de mettre en place de larges boucles. Je suis blonde très claire.
— C'est blond platine, comme me l'a demandé votre surveillante.
Ma coiffure est faite de grosses boucles, qui m'encadrent le visage. Elle est assez volumineuse. Fixée par une tonne de laque.
— Je vous ai fait une coiffure très année 1950, comme Maryline. C'est parfait avec votre robe.
Je ressemble à une poupée.
La coiffeuse me maquille, visage très pâle, yeux soulignés de noir, et lèvres rouges écarlates.
— Une dernière touche Mademoiselle.
Et elle m'asperge de parfum, trop de parfum. L'odeur est forte, et me soûle un peu.
Je peux me lever, c'est un soulagement. Dans le miroir du salon, je suis... Très sexy, une tête de poupée blond platine, de larges boucles encadrent mon visage et repose en s'étalant sur mes épaules. Habillée d'une robe large à jupons, perchée sur des talons invraisemblable, la gorge presque nue, présentée, offerte dans mon large décolleté.
Je suis très belle, très sexy, trop sans doute. Si je reprends le métro dans cette tenue, je vais me faire violer.
— Voilà ma belle, c'est terminé. Vous habitez loin ? Parce que dans le quartier et le métro, habillée comme ça, vous risquez d'être constamment harcelée.
— Oui, je suis terrifiée à l'idée de prendre le métro dans cette tenue, trop maquillée, trop parfumée et cette robe... Elle est belle, je l'aime beaucoup, la coiffure que vous m'avez faite est merveilleuse, mais... j'ai très peur.
— Ho oui, je ne vais pas vous envoyer en pâture à ces brutes, qui ne pense qu'au sexe. Je n'habite pas très loin de votre école, et j'ai une voiture. Mais elle est garée assez loin. Ici, c'est impossible de stationner. Si vous le voulez, je vous raccompagne avec ma voiture. Mais sur le chemin, je dois rencontrer une amie au "café Polaire" Il est à deux pas d'ici.
— Merci Madame, vous me soulager. Merci beaucoup, je ne peux vraiment pas prendre le métro dans cette tenue.
— Vous déclencheriez une émeute pour vous posséder. Je ne veux pas que ces brutes abîme mon chef d'oeuvre.
Elle rit, ou se moque de moi.
— Allons y jolie Mademoiselle.
Elle m'ouvre la porte du salon pour que je puisse sortir. Le "Café Polaire" n'est pas très loin. Suffisamment, pour que je me fasse siffler deux fois. Heureusement que la coiffeuse m'accompagne et qu'elle semble connue dans le quartier. Arrivée au café, un jeune homme se précipite et m'ouvre la porte
— Je vous en prie mademoiselle.
C'est étrange, je n'ai pas l'habitude que l'on m'ouvre la porte. Je rentre suivie de la coiffeuse. La serveuse du café se précipite vers nous.
— Suivez-moi, Mesdemoiselles, j'ai une table à votre disposition. On suit la serveuse, et je sens que tous les regards me suivent...
À l'approche de la table, l'espace est étroit, surtout avec ma robe à jupons. Les deux personnes attablées à côté se lèvent et nous laissent l'espace. Je peux m'asseoir prudemment sur la chaise que me présente la serveuse. Elle m'aide à bien placer ma robe encombrante. Je dis à la coiffeuse.
— Cette serveuse est vraiment très attentive, très serviable.
— Ho oui, j'aime ce café, parce que la patronne est très stricte sur le respect. On vous regardera, parce que vous êtes très belle, mais personne ici ne viendra vous importuner.
— Oui, mais la serveuse, a même fait déplacer des clients pour nous faire de la place.
— C'est vrai. Elle est très attentive et prévenante pour ces clients. Mais il y a un plus aujourd'hui. Tout le monde vous regarde. Vous illuminez le café par votre présence. Elle a bien pris soin de nous placer au centre et près de la fenêtre. Et cela marche. Déjà deux clients qui vous regardaient par la vitrine et qui comme par hasard, sont entrés boire un verre. Une soif subite sans doute.
Je rougis sous mon maquillage. Je n'avais pas imaginé être autant le centre des regards, des désirs.
L'amie de la coiffeuse s'installe à notre table.
— Bonjour Florence, bonjour Mademoiselle.
Son regard sur moi, est intense, doux, émerveillé. Je ne sais pas quoi dire et je reste muette.
Elle me regarde, attend une réaction sans doute. Je reste pétrifiée, muette comme une poupée.
C'est Florence qui rompt le silence.
— Mademoiselle Béatrice sort à l'instant de mon salon de coiffure. Nouvelle robe, nouvel coiffure, maquillage, parfum... beaucoup de nouveautés qu'elle doit s'approprier. Je la devine aussi très timide.
L'amie de la coiffeuse se moque gentiment de moi.
— Tu te fais une belle publicité, les femmes qui sortent de ton salon, deviennent le centre du monde.
— Tu exagères, mais dans ce cas oui. Ceci dit, toutes les femmes ne veulent pas se coiffer ainsi, porter une robe aussi voyante. Tout en elle est devenu excessif. Elle n'ose même plus rentrer chez elle par le métro.
— Je vois, il y a une contradiction, on aimerait être comme elle, mais on n'oserais jamais. C'est bien trop excessif.
Les deux amies changent de sujet. Discutent entre elles autour d'un thé. Florence se lève.
— Je dois partir, on continuera notre conversation demain. Bonne soirée ma chérie.
Elles s'embrassent, l'amie de Florence me serre la main. Je me lève, quelqu'un me tend le bras pour m'aider, un autre jeune homme pousse ma chaise de côté.
On traverse la salle, et plusieurs personnes se lèvent et s'écartent pour me laisser passer. Je les remercie d'un signe de tête et ils me répondent d'un grand sourire. Je me dirige vers la porte, Florence me suit. C'est la serveuse qui m'ouvre en grand la porte et me salue. Florence me rejoint, et m'accompagne vers sa voiture.
Je marche très lentement, au point d'intriguer Florence.
— Je suis désolée, mais avec mes talons, je ne peux pas faire de grands pas. Mon entraînement, c'est focalisé sur la marche à petit pas et ma robe ne m'aide pas. Elle est tellement large, que je ne voie pas le sol devant moi.
— Bien ma belle, je vais marcher plus lentement. La voiture n'est plus très loin.
C'est une grande voiture, mais ma robe est très grande aussi. J'ai besoin d'aide pour rentrer. Florence doit disposer ma robe, l'étaler. Ça ne marche pas. Ma robe est trop large, elle déborde sur la place du conducteur. Je ressors de la voiture et m'installe sur le siège arrière, celui du milieu. J'ai plus de place, et ma robe s'étale de chaque côté, sur les deux autres sièges.
Je suis encore penchée en avant et pas vraiment assise.
— Tu peux te redresser, ta robe est bien en place.
Me redresser pour m'asseoir. Je redoute ce moment. Je me redresse lentement. Et malheureusement, le godemichet me pénètre de plus en plus à mesure que je me redresse. Je suis assise, et empalée, dilatée. Cela me brûle, c'est très tendu. J'évite de bouger. Florence démarre. La voiture sort du parking, et franchit une bordure. Le cahot de la voiture se transmet directement à mon godemichet. Je ressens le choc dans mes fesses. Il bouge alors que tout mon poids pèse sur le gode et le fait pénétrer plus loin, plus fort en moi.
En roulant, je sens les vibrations de la voiture. C'est tout l'intérieur de mon ventre qui vibre. La moindre irrégularité de la route me masse l'anus, le ventre. Mon sexe se tend, mais enfermé dans ma ceinture de chasteté. La tension contre la coque est pénible, devient douloureuse, alors que le gode me stimule en permanence mes fesses, mon anus.
— On arrive à ton école. C'est plus confortable que le métro.
— Oui Madame, je vous remercie.
Mon anus est en feux, mon pauvre sexe bridé, compressé dans ma ceinture. Je suis à bout, excitée, énervée, à bout de nerfs.
La voiture s'arrête, je vais pouvoir me lever, sentir ce godemichet ressortir un peu.
— Bonne soirée ma belle. Je te laisse, je suis pressée. Tu salueras ta surveillante principale. C'est une amie.
— Oui Madame. Bonne soirée.
La voiture repart. Angélique m'attend et m'accueille à l'entrée du domaine.
Elle me prend la main, pour entrer dans l'école. Je marche lentement. Le gode ressort un peu. Je suis soulagée, mais quelle épreuve épouvantable.
L'école de Mademoiselle I
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